TELECHARGEMENTS ET INSTALLATIONS DE LOIC ET HOIC


-Aller dans le panneau de configuration et le centre de maintenance de windows


-Désactiver SmartScreen, l'anti-virus avast et accepter le téléchargement avec Mc Afee
https://www.mediaforma.com/windows-10-activerdesactiver-windows-smartscreen/

-Téléchargement loic
Décompresser l'archive sur le bureau
https://www.onworks.net/software/app-loic-ddos-attack-tool-latest-version
Aller dans le dossier et cliquer sur le fichier LOIC.exe pour le démarrer


-Téléchargement loic js
Décompresser l'archive sur le bureau
https://github.com/NewEraCracker/LOIC
Aller dans le dossier et cliquer sur le fichier loic.html pour le démarrer


-Téléchargement de hoic
Décompresser l'archive sur le bureau
https://sourceforge.net/projects/highorbitioncannon/files/latest/download
Aller dans le dossier et cliquer sur le fichier hoic2.1.exe pour le démarrer


-Démarrer loic, loic.js ou hoic
aller dans le dossier ou l'archive a été décompressée et cliquer sur 'LOIC.exe' / 'loic.html' / 'hoic2.1.exe'
pour se joindre aux anonymous utiliser un serveur IRC(internet relay chat) → loic.anonOps.net pour loic

-Tutos loic
https://www.youtube.com/watch?v=QospEbdv0us

-problèmes démarrage
https://resources.infosecinstitute.com/loic-dos-attacking-tool/#gref

-Loic d'origine
À propos de l'outil LOIC d'origine:
Le LOIC a été initialement développé par Praetox Technologies comme une application de test de résistance avant
de devenir disponible dans le domaine public. L'outil est capable d'effectuer une simple attaque dos en envoyant
une grande séquence de requêtes UDP, TCP ou HTTP au serveur cible. C'est un outil très facile à utiliser, même
par ceux qui n'ont aucune connaissance de base du piratage. La seule chose qu'un utilisateur doit savoir pour
utiliser l'outil est l'URL de la cible. Un pirate potentiel n'a alors qu'à sélectionner quelques options simples
(adresse du système cible et méthode d'attaque) et à cliquer sur un bouton pour lancer l'attaque.
L'outil prend l'URL du serveur cible sur lequel vous souhaitez effectuer l'attaque. Vous pouvez également saisir
l'adresse IP du système cible. L'adresse IP de la cible est utilisée à la place d'un réseau local interne où DNS
n'est pas utilisé. L'outil dispose de trois principales méthodes d'attaque: TCP, UDP et HTTP. Vous pouvez sélectionner
la méthode d'attaque sur le serveur cible. Certaines autres options incluent le délai d'expiration, le message TCP / UDP,
le port et les threads. Voir l'écran de base de l'outil dans l'instantané ci-dessus dans la figure 1.
La version LOIC utilisée par les attaques de groupes anonymes était différente de la LOIC d'origine.
Il avait une option pour connecter le client à l'IRC (Internet Relay Chat). Cela a permis à l'outil d'être contrôlé
à distance, en utilisant le protocole IRC. Dans ce cas, la machine utilisateur est devenue une partie d'un botnet.
Un botnet est un système de systèmes informatiques compromis connectés les uns aux autres via Internet, qui sont à
leur tour contrôlés par l'attaquant qui dirige le malware vers sa cible. Plus le botnet est gros, plus l'attaque est puissante.

-Efficacité
LOIC, pour Low Orbit Ion Cannon (qui peut être traduit par « canon à ion de basse orbite », une arme de Command and Conquer),
est une application de test de réseau, écrite en C# et développée par Praetox Technologies. Cette application tente d'attaquer
par déni de service le site ciblé en inondant le serveur avec des paquets TCP, des paquets UDP, dont des requêtes HTTP avec
l'intention de perturber le service d'un hôte particulier. Le programme a été exploité au cours du projet Chanology qui visait
les sites web scientologues.
La caractéristique principale des botnets est la mise en commun de plusieurs machines distinctes, parfois très nombreuses,
ce qui rend l'activité souhaitée plus efficace (puisqu'on a la possibilité d'utiliser beaucoup de ressources) mais également plus
difficile à stopper.
Attaques contre le blog du service de paiement en ligne, PayPal, ou contre les sites de Visa et MasterCard. Pour protester
contre le gel des comptes de WikiLeaks, des pirates informatiques ont lancé une "Opération riposte" sur le Web. Certaines
de ces attaques semblent avoir été facilitées par un nouveau logiciel, mis à disposition par un groupe de pirates se faisant
appeler Anonymous.
Baptisé LOIC (Low Orbit Ion Cannon), en référence au film La Guerre des étoiles, le programme, dont la première version était
disponible dès la fin 2009 en téléchargement, est pensé comme un outil, clé en main, permettant de participer à une cyber-attaque,
sans la moindre compétence informatique. Dans l'interface du programme, l'utilisateur n'a qu'à indiquer l'adresse URL "cible" du
site Web qu'il compte attaquer.
LOIC est même disponible sur toutes les plates-formes informatiques, qu'il s'agisse de Windows, de Mac ou de Linux. Sur certains
sites où LOIC est disponible, le logiciel a été téléchargé plusieurs centaines de fois.
"RÉSEAU DE ROBOTS VOLONTAIRES"
Pour faire aboutir des attaques de "déni de service" (DDOS), qui visent à saturer de requêtes les serveurs des sites visés par
l'attaque, les pirates informatiques utilisent un "serveur maître" commandant à des "réseaux de robots" ("botnets") parfois composés
de centaines de millions d'ordinateurs. Les pirates réunissent généralement cette cohorte de machines "zombies" en infectant les machines
mal protégées, par des programmes malfaisants. D'après les observations de l'éditeur d'antivirus Symantec, aucun réseau de robots
d'envergure n'a été utilisé dans les attaques récentes.
Avec LOIC, ce sont les utilisateurs du programme eux-mêmes qui constituent "'un réseau de robots' volontaires", permettant une attaque
coordonnée. Avec la fonctionnalité "hive mind" ("esprit de ruche"), ceux qui installent LOIC consentent à ce que leur ordinateur soit
contrôlé à distance.
Les internautes qui utilisent ce programme encourent-ils des risques vis-à-vis des autorités ? "Les chances de se faire prendre sont
proches de zéro", assurent les concepteurs. En cas d'éventuel problème, Anonymous invite les utilisateurs de LOIC à déclarer que leur
machine a été infectée par un virus.